Les secrets des couvents

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il y a 1 an
On ne vous a pas tout dit, il y avait plusieurs types de couvent.

Commençons par celui de l'esclavage.

AU BON PASTEUR

Les pensionnaires vivaient sans air et sans exercice. Aucun soin de propreté. Non seulement, ces femmes ne prenaient jamais de bains, mais elles n’avaient pas de cuvette pour se débarbouiller, ni de savon.

On se servait du vase de nuit, au-dessus duquel on mouillait sa serviette en versant un peu d’eau. La serviette durait parfois plusieurs semaines.

Les lettres étaient ouvertes à l’arrivée : on ne les remettait au destinataire que lorsqu’on le jugeait bon. Il en était de même pour la correspondance envoyée par les pensionnaires à leur famille.

Les soeurs allaient jusqu’à envoyer aux familles de fausses lettres signées du nom des pensionnaires, faisant les plus grands éloges des religieuses et déclarait vouloir demeurer à tout prix avec elles !

Les pensionnaires ne voyaient presque jamais leurs parents ( et seulement au parloir, en présence d’une soeur.)

Astreintes à une journée de travail de neuf heures, à dire treize fois la prière dans une journée, dans des conditions très pénibles, dans un silence absolu. Elles sont à la tâche. On leur impose une surcharge de travail, qu’elles ne peuvent achever au cours de leur journée, et l’on exige qu’elles le terminent dans leurs heures de repos, le samedi ou les jours de fête. Certains ""produits"" fabriqué par leurs petites mains étaient revendus, les bénéfices revenaient au couvent.

Ces malheureuses ne connaissaient aucun métier, étant donné la grande division du travail dans les couvents. A part la spécialité qui leur avait été imposée, elles ne savait rien faire et étaient incapables de gagner leur vie.

Dessins de Topfler

LE COUVENT DE FONTEVRAULT

Les femmes peuvent être bien pire que les hommes dans les excès. Nous pourrions dire qu'à Fontevrault, il y était pratiqué une forme moins agréable de BDSM et de fessée.

« Une heure après minuit, un son de cloche faisait sortir les religieuses de leur cellule, malgré le froid le plus âpre. Elles se rendaient ensuite dans la chapelle silencieuse et demi-obscure. Toutes les religieuses arrivaient à pas lents en marmonnant des psaumes et en égrenant leurs chapelets ou bien en resserrant les noeuds de cordes tachés de sang, ce qui était le signe indubitable d’une grande ferveur.

Tout à coup, l’abbesse levait sa discipline vers le ciel et criait d’une voix lugubre.

Ici commençait les pénitences : Elle ajoutait : « Repliez la robe noire dessus la tête et jetez bas la robe de dessous »

Toutes les lumières s’éteignaient et la nef résonnait d’un bruit sourd et cadencé qu’accompagnaient les encouragements de la supérieure, les cris et les soupirs arrachés à la souffrance.

« Rompez de coups les sept péchés mortels sans excepter la luxure ! Le paradis vous vaudra au centuple ces peines du corps . Chaque coup fait sortir une âme ou deux du purgatoire selon qu’il est bien donné et reçu ».

La discipline cessait enfin de retomber sur les chairs meurtries et saignantes, lorsque la fatigue mettait un terme à ces cruautés »

LE COUVENT DU BON SECOURS

Un couvent bien plus accueillant ! Quoi """queue"""" ?

Le couvent du Bon Secours était réputé pour ses réjouissances collectives qui alternaient avec les exercices religieux de ces dames.

C’était le refuge de galanteries où de jolies femmes que le dépit, l’amour ou quelques passions malheureuses, obligèrent à prendre le voile.

Deux religieuses dénoncèrent les exécrables principes de doctrine des moines, leur « directeurs » et demandèrent aide et secours pour les en débarrasser dénonçant avec quelle familiarité les moines traitaient les religieuses et avec quelle facilité ils s’introduisaient dans le couvent communiquant par un souterrain, leur permettant de satisfaire, après de copieuses libations, l’oeuvre de chair.

Ils y mangeait et buvaient avec celles qu’ils préféraient et qui leur était les plus accueillantes, demeuraient avec elles quand bon leur semblait, deux à deux, dans quelque cellule. Ils y couchaient même, pendant la nuit.

Sources : « La vie secrète des couvents » de Pr. Roland Gagey.

LA QUESTION qui n'a jamais eu de réponse. Dans quel couvent ont été envoyées les deux religieuses qui ont dénoncé les exécrables principes de doctrine des moines ?

LA QUESTION NUMERO DEUX : dans quel couvent aimeriez vous aller mesdames ? (Ca c'est de l'humour)

Je suis contente d'être athée !
Très envie d'être confessée
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